top of page

Mon parcours sportif

Motocycliste

Mon premier sport, mon premier amour. Je n'ai jamais pratiqué en compétition mais il m'a forgé le mental pour la suite de ma vie.

410730277_209628932201514_5254135557344640770_n_edited.jpg

J'ai pratique ce sport pendant 2 ans en STAPS. Je ne l'ai pas pratiqué en compétition. 

received_886069388422355_edited.jpg

Ma plus grosse expérience sportive est mentale. C'est le seul sport pratiqué en compétition et surtout à haut niveau !

429838999_732142818987604_8426339690853975109_n.jpg

Aujourd'hui c'est mon sport de bien-être, celui qui me garde en bonne santé. Je le pratique avec plaisir et développe toutes mes capacités.

La moto enduro

Pour le plaisir de vos petits yeux voici une photo toute mimi de moi. Oui, car maintenant, je fais surtout la grimace sur les photos.


Comme vous pouvez le constater, j'ai pratiqué la moto enduro dès mon plus jeune âge (je ne savais pas encore faire de vélo sans petite roue !) mon papa m'a transmis sa passion. De mes 6 ans à mes 18 ans, j'ai roulé avec mon papa, mais sans jamais faire de compétition. Ma maman avait beaucoup trop peur que je me fasse mal.

Une photo de Laura enfant. Elle est sur une petite moto enduro

C'est un sport qui m'a permis de développer ma force, de trouver un équilibre émotionnel et qui donnait du repos à mon mental. J'avais juste à passer les obstacles, écouter le bruit du moteur et accélérer. C'est aussi ce sport qui m'a permis de me mettre à la musculation. Quand j'ai eu ma moto 125, je manquais de force, je me suis donc inscrite à la salle pour m'entraîner. Et j'ai adoré. J'ai commencé à m'entraîner trois fois par semaine, à prendre de la force, muscler mon corps, mais malheureusement, j'ai chuté ...

Laura adolescente qui est sur une moto enduro.

La chute a été douloureuse, la convalescence encore plus. J'ai marché 3 mois en béquille : déchirure du droit antérieur de la cuisse, de l'adducteur, moyen fessier abîmé, tenseur du fascia lata touché, épine iliaque antéro-supérieur arraché... J'ai perdu toute la masse musculaire de ma cuisse, j'ai dû réapprendre à marcher, à forcer avec ma jambe, à bien empiler mes articulations. Malgré des séances de kiné bien menées, il restait des douleurs persistantes. Je me suis donc prise en main et j'ai continué ma rééducation seule. 

Mais aujourd'hui tout va mieux ! À mes 18 ans, j'ai décidé d'arrêter la moto enduro pour me concentrer sur mes études et surtout ne pas me blesser et louper mon diplôme. Je n'ai pas un grand parcours sportif, ni de palmarès, ni de record personnel, mais ce sport m'a fait grandir et j'adore le coacher. Tous les sports mécaniques me passionnent donc n'hésite pas à me contacter pour une préparation physique. 

L'haltérophilie

L'haltérophilie, quel sport ingrat ! Des heures et des heures d'entraînement pour augmenter que d'un kilo son record personnel. 

J'ai commencé en STAPS, j'en avais dans mon cursus, et c'est une pratique sportive qui m'a beaucoup plu. L'aspect technique des mouvements, la mobilité qu'il fallait avoir, la vitesse, la force et ne pas avoir d'appréhension, tout ça m'a séduit ! J'ai pratiqué ce sport seulement pendant mes années de STAPS et de temps en temps pendant mes entraînements personnels. Je n'ai jamais voulu participer en compétition. Une petite appréhension se fait de mon côté.

Laura a une compétition de crossfit, elle fait le mouvement d'arraché

Cependant, c'est un sport qui m'a marqué. Il a changé ma pratique sportive, la vision que j'avais des sports de force. Il m'a aidé à évoluer dans ma pratique de coach en me rendant compte que ces mouvements sont bénéfiques pour la santé. Même si je n'ai pas fait de compétition, j'ai une très bonne technique et des barres qui sont raisonnables. J'aime apprendre ces mouvements et transmettre mon savoir et mes ressentis. 

Si vous souhaitez une préparation physique en haltérophilie pour un BPJEPS ou STAPS, vous pouvez me contacter.

La force athlétique

Le seul sport que j'ai pratiqué à haut niveau, tous les jours, je me battais contre mon record personnel pour pouvoir réaliser des performances sportives lors de la prochaine compétition et être sélectionnée. 

Au détour d'une conversation avec mon professeur d'haltérophilie, il m'a proposé de faire de la force athlétique, car j'avais les jambes et le gabarit parfait pour produire de la force. Je suis allée à un entraînement avec lui et effectivement, j'avais des facilités surtout sur deux mouvements : le squat et le développé couché, quant au soulevé de terre, c'était un peu plus compliqué. 

Photo représentant Laura sur la première marche du podium lors de la compétition aux championnats de France
Laura effectuant une barre de développé couché 60kg lors du championnat d'europe

Le but de la force athlétique est de soulever la charge la plus lourde possible sur trois mouvements et avec trois essais sur chacun. Les compétitions commencent par le squat, toutes les catégories de poids de corps féminines passent, puis le développé couché et le soulevé de terre. Généralement, il y a entre une à deux heures d'attente entre chaque mouvement. Chaque concurrent est pesé afin de savoir dans quelle catégorie de poids, il va être. Durant mes deux premières années, je suis restée en -63 kg en pesant 60 kg, je ne voulais pas travailler sur mon poids, mais la dernière année (celle du covid) je suis descendue en -57kg.

Pour la première année de compétition, j'ai été sélectionnée pour les championnats de France trois mouvements, j'ai fini 6ème. C'était une catégorie très serrée, au total soulevée, je fais : 295kg, la 5ème; 297,5kg, la 4ème: 300kg, la 3ème: 300kg. C'était une excellente première compétition de niveau national !
Puis je suis allée au championnat de France de développé couché, j'ai fini 1re et 3ème à l'indice (toute catégorie de poids féminin confondu).
Je suis donc sélectionnée pour les Europe où je termine 4ème.

Laura qui fait du squat lors d'une compétition de Force athlétique

Pour la seconde année, une seconde participation aux championnats de France de force athlétique (3 mouvements). Cependant, je m'étais entraînée seulement 4 semaines avant l'échéance. Quatre mois, plus tôt, je me suis fait une fracture de fatigue au niveau de l'ischion (os sous la fesse), donc il avait été impossible de m'entraîner... Mais cette expérience a été bénéfique pour moi, car j'ai pu travailler sur mon mental, sur les doutes que j'ai pu avoir, j'ai compris ce qu'un athlète ressent lorsqu'il va à une compétition et qu'il sait qu'il va faire une contre-performance.

Mais j'ai quand même fait cette compétition, et j'ai pu me faire sélectionner pour les championnats de France de développé couché où j'ai été très fière de moi et du parcours accompli. Je finis première de ma catégorie. Puis je vais aux Europe pour terminer une seconde fois quatrième. Lors de ces Europes, tout n'était pas pour réuni pour performer. Je travaillais de nuit et j'avais perdu beaucoup de poids. Il a fallu que je mange énormément et que je me pèse habillée pour faire plus de 57kg et pouvoir participer à la compétition. C'était difficile, mais j'ai participé et j'étais fière de moi.

Laura qui fait du soulevé de terre lors d'un compétition de force athlétique

Pour la dernière année de compétition, qui fut courte à cause du covid, j'avais décidé de descendre en -57kg. Un nouveau défi m'attendait avec un nouveau coach. La préparation physique se passait extrêmement bien, mais il y a toujours des imprévus. Une compétition a été avancé d'une semaine et malheureusement, je n'étais pas du tout au poids. J'avais 4 kilos en trop, il fallait absolument que je les perde pour pouvoir faire la compétition. J'ai pu vivre une "water cut" très intense. On boit d'abord beaucoup d'eau (jusqu'à douze litres), pour ensuite descendre et couper complètement, et bien sûr ne plus rien manger. 

J'ai réussi, et avec le recul, je me demande comment j'ai fait pour tenir. Mais c'était une autre expérience. J'ai été sélectionnée pour les France trois mouvements et développé couché seul. Mais je n'ai pas fait ces compétitions à cause du covid.

Le crossfit

Je crois que vous l'aurez compris, j'aime bien les défis ! À la sortie du covid, je ne savais pas quoi faire. Je ne voulais pas refaire de force athlétique. J'avais envie de gagner en endurance, de faire un sport cardio, mais en gardant ce que j'aime : porter des charges. 

J'ai essayé plusieurs programmes d'entraînement sur Internet, j'étais dans une salle où il n'y avait personne et où je m'entraînais seule. 

Laura qui grimpe à la corde
touch-to-bar.webp

Puis j'ai décidé d'essayer le crossfit et là ça a été la révélation, enfin 3 jours après quand je n'avais plus de courbature. Ce sport était plein de défi puis il y avait une grosse part de cardio et des ports de charge. J'ai donc décidé de m'inscrire. 

Ce n'était pas toujours simple. Comme quand on reprend le sport, j'ai peiné. Je n'arrivais pas à courir, faire plus de cinq répétitions été difficile, et la gym, je n'en parle même pas. Mais au bout d'un an, vous pouvez voir sur la photo que mes pieds touchent enfin la barre. (mouvement de toes to bar)

​Alors surtout, n'abandonnez jamais !

bottom of page